La grande, la magnifique, la superbe ........ Alexe Koichi! (EN COURS!)

Héhé, comme je ne sais pas encore quelle race choisir, je n'ai pas trop d'imagination. Mais ne vous inquiétez pas, la Grande Izuma est de retour héhé!

►►►► Information Général ◄◄◄◄

( Je ne sais pas comment mettre une image. Ps: C'est celle de mon profil) Nom: Koichi Prénom: Alexe Surnom: Race: Pas encore décidée Age physique: 16 ans Age Réel: Elle a arrêtée de compter. Environ 300 ans. Sexe: Féminin

►►►► Description Physique◄◄◄◄

Alexe est....
La plus grande erreur que les gens font c’est qu’ils là sous-estime. Tant en sport qu’en combat, il n’est pas facile de lui tenir tête lorsqu’elle veut gagner à tout prix. De son vivant, personne de son âge ne courrait plus vite qu’elle. Au soccer, on l’utilisait souvent en défensive pour enlever rapidement le ballon à l’équipe adverse ou en attaque, pour éviter toutes les filles de l’autre équipe et se rendre au but sans obstacle. Par contre, elle ne tolère pas longtemps la douleur et n’a pas la meilleure endurance du monde. Malgré son physique, Miraki est très forte.

►►►► Description Mental◄◄◄◄

.....
D’apparence faible, autant physiquement que mentalement, Miraki a en fait un caractère explosif. Elle saute souvent tête première dans toutes les situations habituelles de la vie et finit souvent par le regretter. De plus, elle ne pense jamais avant de parler, ce qui lui attire souvent les foudres des autres personnes à l’entour d’elle. Forte de caractère, elle ne tolère pas la défaite personnelle. Elle n’abandonne jamais et ne supporte de voir ses alliés et amis se faire blesser ou tuer. Cette jeune fille est en fait une sadique refoulée qui aime faire souffrir ses ennemis. Facile de la main, elle frappe un peu tout le monde n’importe quand, n‘importe où. . C’est en fait une bombe à retardement, on ne sait jamais quand elle va exploser.

►►►► Histoire ou RP ◄◄◄◄

(C'est une ancienne histoire qui date de proche un an, désolée. Je suis en période d'examen et je n'ai PAs le temps d'en refaire une autre. ELLE N'EST PAS ENCORE FINIE)

Moi qui croyais avoir déjà assez souffert, je n’étais pas sortie de l’auberge comme le dirait mon père. J’étais à bout de souffle, la tête me tournait et j’avais un point de côté. Juste le fait de penser à courir me donnait la nausée, et pourtant, cela faisait déjà un bon deux heures que je courrai sans relâche, sans savoir où j’allai. J’avais une bonne raison de faire ce que je faisais... je ne voulais pas mourir.. Au moins, pas d’une mort atroce comme celle qui m’attendait si j’arrêtais de bouger. Pour améliorer et mettre de la joie dans ma superbe journée, déjà si belle, il se mit à pleuvoir. Rapidement, l’asphalte sur laquelle je courrai devint glissante et je perdis pied assez rapidement, me cognant la tête contre un poteau électrique. Je glissai par terre, me retrouvant les quatre pattes en l’air. Ce fut alors que je lâcha un cri, qui ressemblait plus à un grognement en y repensant un peu... Un cri de douleur mêlé à de la rage. Je n’ai et je ne tolèrerais jamais la défaite personnelle. Lorsque je me fixais un but, il fallait que je l’atteigne à tout coup. Et j’avais toujours réussi. En ce moment précis, mon objectif était de rester vivante. Pourtant, je La sentais se rapprocher, je le savais. Les bras de la Mort se resserraient déjà sur moi, je pouvais presque sentir Son souffle... La toucher.... Ce fut alors que je remarquai que des gouttelettes d’eau coulaient le long de mes joues. Je le comprenais bien, ce n’était pas de la pluie, mais mes propres larmes.....

Il était une fois, une belle princesse qui aimait le rose et qui vivait dans un jolie château. Toutes les personnes du pays l’admirait.... Euh... Minute... Je pense que je me suis trompé d’histoire.... Je ne suis pas sûre, pas sûre..*réfléchi un peu*... Oh c’est vrai je suis sur le forum de sadiques qui s’amusent à s’entretuer avec des épées! Oh, j’ai compris. Je recommence si vous me le permettez. Yo tout le monde! Me llamo Izuma euh.... Attendez..... Euh..... Appelez moi Alexe. En fait, j’ai changé inconnito mon nom et j’ai recommencé ma vie! Mais, ne le dites à personnes s’il-vous-plaît. Zut! Je viens de le dire tout haut hein? Bon pas grave, il faudrait que je commence mon histoire un jour ou l’autre ô sinon vous allez vous endormir sur votre chaise. Mwahahahaha, Ha! Que je suis machiavélique.....

C’était une journée banale, dans une semaine banale, dans une vie banale, dans un monde peu banale. Nous étions le 3 décembre et dehors il pleuvait. La neige tardait à venir et je commençais à me demander si nous aurions droit à un Noël blanc cette année. Ça ferait changement un peu, une couche de quelques centimètres de neige sur notre pelouse pendant, et non après, les vacances de Noël.
- On dirait qu’elle est entrée dans une sorte de transe... Peut-être devrions nous lui dire que l’examen de science n’est que dans 75 minutes et qu’elle n’a même pas commencée à étudier le premier document......
Ein? Je cru entendre un bruit, une voix, mais elle semblait si loin.
- Ne la touche pas! Tu sais que si tu la dérange, tu risques de recevoir un coup de poing dans la figure!Une autre voix? Il y en avait combien, de voix? Ça me dérangeai, ça m’agaçai. Les gens comme moi n’ont même plus le droit de vivre en paix de nos jours?
- Je...j.....je.....vais le faire, balbutia quelqu’un. Ale.....
- Laisse moi faire, idiot.... Même pas capable de parler correctement.... Imbécile.
Cette voix arrogante, ce ton supérieur, comme si le détendeur de cette voix ce trouvait mieux que les autres, je pense la connaître. À ce moment même, des mains m’agrippèrent fermement les épaules et commencèrent à m’agiter de droite à gauche. Je sorti alors de ma «transe» et eu le réflexe de frapper la personne qui osait me balancer dans tous les sens. Par contre, je n’atteignis jamais le visage de la personne, celle-ci ayant arrêté mon mouvement en m’attrapant le poignet. Celui qui se tenait devant ma personne se nommait Mathéos, alias Math. Nous étions amis depuis la deuxième année du primaire, donc vers l’âge de 7 ans, et depuis, nous étions devenus meilleurs amis. Malgré son tempérament explosif et sa personnalité assez agaçante, j’avoue que je ne pouvais l’haïr. Il avait un don. Le don de me faire rire et de transformer les moments difficiles en moments amusants. De son air décontracté, il me posa une question assez idiote, qui n’avait pas vraiment sa place:
- C’est quoi le modèle corpusculaire?
- De qu...oi? réussi-je à dire.
Il se gratta l’arrière de la tête en faisant un gros sourire. Je compris alors que lui aussi n’avait pas étudier pour son examen de science. Et, au contraire de moi, sa mémoire était..... Pas trop superbe.
- Le modèle corpusculaire est un modèle scientifique basé sur l’idée que la matière est composée de particules, lançai-je d’un trait, ce qui surpris tous mes amis (amies).
- Dit... Moi pas...qu’elle à étudiée...
Je me levai alors de ma chaise en fixant tout le monde d’un air assuré. Laissant échapper un petit sourire taquin, je frappai amicalement l’épaule de mon ami et quittai la classe. Ce fut seulement rendu dehors que je parti à rire à me torde de douleur. J’adorai voir les expressions faciales de mes amis lorsqu’ils étaient sous le choc. Après plusieurs minutes, Math arriva, agrippa ma manche de chandail, et m’obligea à me rendre à mon examen de science.

- Miiiiiraaaaakiiiiiii, laaaaa teeeeeeerrrrrreeeeee appelllleeee laaaaaaa luuuuneeeeee!
Encore lui, que me voulait-il de nouveau? Je frappai mon pupitre à l’aide de mon poing et tournai vers lui un regard sadique. Je ne sais pas pourquoi, mais j’étais en train de m’imaginer comment le faire souffrir un maximum sans le tuer. Casser des jointures par là, couper des tendons par ci... Oups, une commotion cérébrale! Je pense qu’il comprit, car il fit quelques pas vers l’arrière en affichant un sourire peu....rassuré. Il rassembla tout son courage et dit:
- Hum, tes amies ont décidées de passer un samedi entre «filles» et voulaient t’inviter, mais... Elles avaient peurs que tu les frappes dans le visage... Encore.... Une autre fois.... (Comme tu peux le deviner, elles m’ont choisi pour recevoir la punition divine)
J’affichai une mine désolée et lui répondit que j’essayai de corriger cette fâcheuse habitude et que j’acceptai l’offre de mes amies. Une journée entre filles.... Oups, peut-être avais-je commis une erreur? Journée entre filles = maquillage, cinéma, blablabla sur les vedettes masculines du cinéma, blablabla sur les garçons....
Moi = Incompatible avec une journée entre filles.

La journée tant redoutée arriva enfin, le lendemain matin (tantantan, petite musique mélodramatique). Le réveille-matin sonna à 8h00 pile, comme à chaque matin. Je me retournai dans mes draps et essayai de me rendormir, mais l’engin diabolique ne le voulait pas. Je fini donc par le lancer au bout de mes bras, exactement au moment où mon frère ouvrait la porte menant à ma chambre. Il le reçut donc en plein visage. (Attention à ne pas reproduire chez vous, le plastique lancé à 40km/heure peut faire très mal!). Sans rien dire, il se retourna et referma la porte, comme s’il n’était jamais venu. Maintenant que j’y repense, c’était assez drôle. Expérience à recommencer! Je pouffai de rire, ramassai l’engin en plastique, me peignai, m’habillai et me dirigeai vers la cuisine. J’y retrouvai mon grand frère assit sur une chaise, un sac de glace sur le visage. Prête à exploser tellement j’avais le goût de rire, j’attrapai un pain et parti rejoindre mes amies. Lorsque j’arrivai au point de rencontre, j’eu beau regarder dans tous les sens : J’étais seule. En y repensant un peu, les filles, hier soir au téléphone, m’avais dit que nous devrions se rencontrer à 10h00 et non à 9h00. Me rendant compte de mon erreur, je poussai un grand soupire et m’assis sur un banc en regardant le ciel bleu parsemé de nuages blancs et gris. Voyant qu’il n’y avait rien d’intéressant à par les nuages, je sorti mon MP3 de ma poche et commençai à écouter de la musique.
-We’re here to make a scene ‘cause we’re living the dream....
( https://www.youtube.com/watch?v=uQimA5Jt0lU )
Un cri se fit entendre, proche de moi, à seulement une dizaine de mètre dans mon dos. J’attrapai le dossier du banc et, en me donnant un élan, sautai par dessus. J’atterri sur le gazon gelé et échappa mon lecteur MP3. Je restai alors figée devant la scène qui ce produisait devant moi. Un inconnu menaçait une de mes amies avec son fusil. Elle avait sans doute dû refuser les avances de l’homme et celui-ci c’était mit en colère. Je ne savais pas trop pourquoi, mais j’eu la conviction qu’il n’hésiterais pas à utiliser son petit joujou. Cette personne était certainement dérangée mentalement, ce qui la rendait encore plus dangereuse. Mon amie me remarqua et je croisai son regard. J’y vu de la terreur et de la peur, elle avait les larmes aux yeux. Elle semblait résignée à mourir ou à........... Je n’ose même pas y penser encore aujourd’hui. À cet instant même, je me fixai un objectif`: sauver mon amie. Je sautai donc sur le banc où j’étais assis il y a seulement une minute de cela, posa un pied sur le dossier du banc de façon héroïque et pointa l’homme d’un air de défit.
- Hey toi! Lançais-je héroïquement, même si j’eu la peur de ma vie. Au nom de.... Euh..... Au nom de toutes les jeunes filles, je..... Je.....
Je me senti devenir livide et il me semblai que mes forces me quittaient. Comme toujours, je n’avais pas penser une seule seconde avant de me jeté dans la gueule du loup. Le fusil de l’homme me pointait maintenant. Lorsqu’il se rendit compte que je n’avais pas le courage de faire quelque chose, il se dirigea de nouveau vers mon amie. Je fus hors de danger, pour l’instant, mais à quel prix? Je sautai alors du banc et me dirigeai en courant vers mon amie.
- Au nom de ma propre personne, je ne laisserais pas mon amie se faire violer par un innocent comme toi devant mes propres yeux!
Surpris, l’homme tira dans ma direction. Je fermai les yeux, mais après plusieurs secondes, j’étais toujours en train de courir. La balle avait seulement frôler la semelle de mon soulier (running shoe). Voyant qu’il m’avait manqué, il s’apprêta à tuer mon amie. Je pliai donc les jambes et sautai dans sa direction en l’attrapant dans mon saut, la faisant tomber par terre (l‘amie et non le méchant, j‘étais pas assez courageuse pour me mettre devant son arme). Je ruminai dans idées noires, étendue par terre, me demandant si la police allait arriver un jour ou l’autre.
-Miraki, attention derrière toi, dit alors mon amie, effrayée.
Devinant mon sort à l’avance, je poussai Éli (tel était son nom) sur le côté. Bha, le choc fut tel que je ne ressenti pas la douleur immédiatement. Je baissai les yeux vers ma poitrine et remarquai une lame
quelque conque logée à cet endroit. Elle m’avait transpercée d’à partir de derrière. Sachant ma dernière minute arrivée, je levai les yeux vers Éli, lui fit mon plus beau sourire et lui fit signe de s’enfuir, puis je m’effondrai par terre.

Voilà: une mort banale, dans une journée banale, dans une semaine banale, dans un monde peu banale. Au moins, aurais-je eu la chance de mourir le sourire aux lèvres. Depuis, je me pose toujours la même question: Est-ce qu’Éli est morte, elle aussi?

Lorsque j’ouvris les yeux, il faisait nuit. La Lune, assit sur son trône qui était le ciel, semblait me narguer. Je levai une main dans sa direction, contemplant les étoiles. Je me souviens que lorsque j’étais encore petite, un jour, lorsque j’étais très fatigué, j’avais vu la Lune rire. En ce moment même, j’avais la même impression. Bien sûre, elle ne riait pas pour de vrai. Mais elle semblait s’amuser de ma situation, elle, intouchable, invincible, immortelle. Et moi? C’est ça, j’étais mortelle. Je venais de recevoir un couteau en pleine poitrine. Une minute! Comment pouvais-je être en train de penser à la Lune puisque j’étais morte? Je me levai d’un bond, oubliant le voute céleste un petit moment

►►►► Votre Pouvoir ◄◄◄◄

Le mélange entre un Kusarigama et un Kyoketsu shoge.

Je voudrais que tu complete ta race, style qu'on puisse te mettre dans un groupe x)


Et surtout que tu m'explique mieux tes pouvoirs. Je suis pas une adepte de Bleach, et moi les noms @_@

C'est pas finiiiiii XD Je vais trouver ma race, finir mon histoire, les descriptions et le pouvoir de mon personnage après. Désolée, j'ai ounliée d'écrire que c'était en cours.

Oui je suis toujours là. Je ne sais juste pas quelle race choisir donc... je bug! XD

Toujours d'actualité ?

Toujours làaaaa XD! Désolée, je travail depuis la fin des cours alos... XD je faios mon possible, sa avance sur open office

Toujours d'actualité ? ça fait deux mois.